Numériser vos vieilles cassettes VHS

video illustrationApparue vers les années 70, la VHS a été la norme la plus utilisée en matière de vidéo durant plusieurs années. Elle a été présente partout dans le monde avec les autres versions telles que la VHS-C, le 8 mm, le Hi8 et le DV. Actuellement, ces supports analogiques sont en voie de disparition en cédant leurs places aux supports numériques tels que les DVD, les disques durs ou encore les cartes mémoire. Toutefois, si vous avez encore chez vous ces vieilles cassettes, il existe une solution efficace qui permet de récupérer leurs contenus. Avant de vous débarrasser de vos cassettes VHS de vos films préférés ou de vos meilleurs souvenirs, choisissez la numérisation.

Les matériaux qui composent les bandes magnétiques des cassettes VHS sont extrêmement sensibles au magnétisme, à la chaleur, à la poussière et à l’humidité. Par ailleurs, les magnétoscopes tendent également à disparaitre des rayons, mais comment conserver leurs contenus sans garder ces cassettes encombrantes ? La numérisation se présente comme l’alternative la plus fiable. Cette méthode vous permet d’éviter la perte définitive de vos films et vidéos préférés.

Comment numériser les cassettes VHS ?

ça tourne !Il existe différents techniques pour numeriser K7 video sur DVD. Vous pouvez l’effectuer vous-même par deux méthodes différentes. Soit en utilisant un graveur DVD de salon que vous relierez directement avec votre magnétoscope. Cette technique se présente comme la plus simple, car elle ne nécessite aucun réglage spécifique. Toutefois, elle peut s’avérer plus couteuse, au niveau du prix du graveur. La seconde méthode consiste à utiliser votre ordinateur. Pour ce faire, vous devez posséder une carte d’acquisition multimédia. Celle-ci peut prendre la forme d’un boitier à connecter à votre ordinateur via le port USB, également, elle peut être au format PCMCIA. Vous aurez besoin d’un magnétoscope, d’une connectique adaptée qui est un câble composite et éventuellement un adaptateur péritel/composite. Ce dernier est utilisé dans le cas où le magnétoscope ne possède qu’une sortie de type péritel. Afin que votre ordinateur puisse reconnaitre le boitier, vous devez y installer un logiciel spécifique. L’inconvénient pour cette méthode est le fait qu’elle nécessite quelques réglages complexes au niveau de la capture.

Faites appel à un professionnel

Pour une numérisation plus efficace, vous pouvez confier la tâche à des professionnels comme Keepmovie.fr. Qu’il s’agisse de numérisation de VHS, DV, Hi8, VHS-C ou encore Mini-DV, ce site spécialisé s’occupe de tout. Ainsi, vous disposez de nombreux avantages tels que le gain de temps, une numérisation de qualité et les couts sont moins lourds. Cette méthode vous dispense l’achat de quelconques matériels.
Quelle que soit la méthode que vous avez utilisée pour la conversion des cassettes, vous aurez l’opportunité d’améliorer et de modifier vos vidéos. Comme les fichiers numériques ne se dégradent pas avec le temps, vous pourriez les regarder autant de fois que vous voulez. Vous pourriez ainsi profiter avec plénitude des avantages que la numérique met à votre disposition.

Astro et GPS : à chacun son temps !

Dans notre précédent article, une présentation dialectique a été faite de la navigation astro et du GPS, afin de mettre en lumière les divergences essentielles, mais aussi les traits communs, souvent méconnus, entre les deux systèmes. La question de la mesure du temps a été identifiée comme fondamentale et mérite un complément.

Certains lecteurs apprécieront une présentation à la fois concrète et intuitive de la distinction que font astro et GPS à cet égard.

L’astro et le temps

illustration catamaranGénéralement, en astro, si l’on a perdu l’heure, il est assez difficile, voire impossible, de s’en affranchir pour des mesures directes de positionnement.

C’est pourquoi le temps est considéré comme l’une des variables d’entrée du problème. L’histoire de la navigation s’est chargée de démontrer les erreurs de positionnement en longitude liées aux errements des premiers chronomètres de marine, malgré le soin qu’y apportaient les Officiers des Montres.

C’est en effet sur la longitude que se reportent essentiellement les erreurs de temps, puisque, à court terme, c’est le mouvement diurne de la terre qui est le plus ressenti.

Il faut se rappeler que le premier succès du chronomètre de marine remonte à John Harrison, qui, en 1761, traversa l’Atlantique et atterrit à la Jamaïque, à 20 nautiques près, avec un chronomètre qui ne concédait que 1 seconde par jour!

James Cook, pour son deuxième grand voyage en 1772, était moins bien pourvu, puisque sur ses deux chronomètres, l’un avançait de 9,5 secondes et l’autre retardait de 94 secondes par jour, en valeur moyenne constatée a posteriori. .. Après correction de ces valeurs moyennes, des erreurs de 15 à 20 minutes de longitude se sont avérées subsister sur les relevés de Cook.

La difficulté n’était pas encore négligeable à l’époque de Jules Dumont d’Urville, contemporain de Thomas Sumner et de Marq de Saint-Hilaire, les initiateurs de la droite de hauteur.

Ce problème n’existe plus de nos jours, puisqu’il suffit d’une simple montre à quartz, recalée de temps en temps sur les tops horaires radiodiffusés …

Le GPS et le temps

Le GPS est, à son échelle propre, plus sensible que l’astro au paramètre temps. C’est que tout écart sur le temps est multiplié par la vitesse de la lumière et non plus par la vitesse de rotation de la terre! Le facteur est environ 600 000 fois plus fort…Afin de s’en affranchir, le système GPS introduit le temps local comme 4~ inconnue du problème, comme cela a été mentionné dans l’article du précédent numéro.

Un navigateur hauturier, même expérimenté, peut se sentir mal à l’aise dans les hyper-espaces (4DI. ou les considérer comme du domaine de la science-fiction. Pour rester dans l’espace habituel, on peut illustrer le rôle joué par le temps local dans le système GPS, en transposant à un exercice d’astro de même nature, quoique paradoxal, c’est-à-dire à un point sons heure. C’est l’image en 3 dimensions {3D} de la réalité du problème posé par le GPS en 4 dimensions (4DJ.

Une fois cet exercice d’astro effectué, les ordres de grandeur seront comparés avec ceux d’un point typique en GPS. Dons ces exercices, l’essentiel de l’incertitude est attribué ou temps, les autres sources d’incertitude étant volontairement marginalisées. Calculer le temps – puis la position – se ramène donc à minimiser l’incertitude.

Controverses sur les substances contenues dans la cigarette électronique

La cigarette électronique est un dispositif émettant de la vapeur artificielle. Cette vapeur est produite grâce au chauffage de la recharge pour e-cigarette. Les substances délivrées par l’e-cigarette ne sont pourtant pas annoncées par les fabricants. Qu’en est-il vraiment ?

Des points à éclaircir

ecigL’industrie de la cigarette électronique s’est développée fortement ces dernières années. Le nombre de vapoteurs et de lecteurs de Vapofil.fr a augmenté considérablement pour dépasser le million en un temps très court. Ce phénomène s’explique par sa recommandation en tant que remède efficace contre le tabagisme. Les fumeurs la choisissent facilement sans se demander sur son effet réel sur la santé. Les fabricants de leur côté ne communiquent aucune information sur les substances contenues dans ce type de cigarette. L’insuffisance de contrôle de qualité et d’analyse sur les cigarettes électronique pose des problèmes majeurs sur la détermination des éléments qu’elles émettent. Il n’existe ainsi que très peu de données informant les effets du vapotage à long terme. Les chercheurs n’ont commencé à se pencher sur la question que depuis très peu de temps. Leurs études ont permis d’en savoir plus sur les substances diffusées par l’e-cigarette.

Des résultats discutables

Les résultats des études sur les effets de l’e-cigarette sur la santé sont devenus source de controverses. Les idées se partagent qu’il est difficile de savoir lesquelles sont à suivre. Certains scientifiques avancent que l’e-cigarette présente des risques pour la santé alors que des médecins la préconisent pour le sevrage tabagique. Une situation qui met les consommateurs dans la confusion totale. Les conclusions de certaines études laissent planer encore plus le doute. Une étude a permis de déterminer que l’usage de la cigarette électronique aurait des effets physiologiques immédiats sur les poumons, un fait comparable aux effets de la cigarette traditionnelle. Ce résultat est pourtant discutable. Il ne suffit d’ailleurs pas à lui seul de prouver que l’usage de l’e-cigarette est dangereux pour la santé.

Les minces données sur la santé

santé sur la ecigLes études menées sur des vapoteurs ont permis de déterminer que l’usage de l’e-cigarette diminue de manière significative les symptômes de manque et l’envie de fumer. Le vapotage ne cause aucune augmentation du taux de la nicotine dans le plasma et n’a aucun effet sur les pulsations cardiaques, contrairement aux cigarettes classiques. Il faut tout de même se montrer prudent parce que l’étude a été menée auprès d’un petit nombre de vapoteurs. Les données sur l’effet de la cigarette électronique sur la santé sont encore insuffisantes. Il est encore trop tôt pour se prononcer sur la question de la dangerosité ou non de la consommation chronique de ce dispositif de substitution. Des recherches rigoureuses et approfondies sont nécessaires pour prouver ses méfaits sur la santé ou son efficacité sur l’arrêt du tabagisme. Tout reste à prouver.

Le foudroiement : comprendre le phénomène et limiter ces effets

Si en mer le facteur de risques pour l’homme reste très faible, il peut entraîner des dégradations sur les équipements électriques et électroniques embarqués. Bien que peu utilisées, il existe sur le marché des technologies pour permettre d’éviter les effets majeurs du foudroiement. Par Christian Lesage

Pour des oreilles attentives, c’est dans la réception radio qu’il se fait annoncer de très loin. Dans le haut-parleur, le craquement caractéristique des para4 sites signale l’approche du phénomène. Déjà redouté à terre, en mer il s’ajoute au caractère d’hostile isolement que confère le statut de navigateur volontaire et c’est avec un mélange de fascination et de crainte que l’on observe l’approche de l’orage. De nuit, le show prend des allures dantesques, éclairage erratique et déchirement du silence qui noue la gorge. Il y aurait comme de l’électricité dans l’air. Electricité! Voilà le mot juste.

L’évolution de la connaissance de la foudre a suivi celle des cultures et du savoir. C’est d’abord pour conjurer les dangers que j’homme [‘a attribuée à la colère divine: c’est Tien Mu, Lug, Jupiter, Zeus ou un autre. Au cours du XVIIe siècle, quelques tentatives d’explications verront le jour. Il faudra attendre le XVIIIe pour que Benjamin Franklin mette en évidence la nature électrique du nuage orageux, et la fin de la seconde guerre mondiale pour dresser des connaissances bien établies.

Pour étudier les paramètres d’un coup de foudre, les chercheurs ont imaginé dès les années soixante, une solution pour s’affranchir de l’aspect aléatoire du lieu et du moment de l’impact. Aux Etats-Unis, Morris Newman eut l’idée de déclencher artificiellement la foudre depuis un navire qui allait au contact des cellules orageuses le long des côtes de Floride. En s’inspirant de cette technique, et à cause de nombreux dégâts sur les matériels EDF, France Telecom et quelques laboratoires d’aéronautique ont lancé des programmes de recherche pour mieux appréhender le phénomène et en limiter ses effets majeurs.

En France, c’est à Saint-Privat d’Allier que sont menées les expériences de déclenchement volontaire de coups de foudre, grâce à un dispositif de fusées à fil métallique que l’on lire dans le nuage d’orage. Le fil conducteur force le passage du courant de foudre vers un pylône équipé d’appareils de mesure qui enregistrent les paramètres du phénomène. La connaissance de la foudre est actuellement considérée comme satisfaisante.

Un condensateur géant

La surface de la terre et les parties inférieures de t’ionosphère sont des conducteurs électriques et la couche d’air qui les sépare est isolante. Pour un électricien, cette configuration naturelle est assimilable à un gigantesque condensateur. Entre les armatures de celui-ci {positive, surface de la terre et négative, ionosphère) règne un champ électrique d’une centaine de volts par mètre. Amis terriens, amis marins, nous vivons dans ce gigantesque condensateur électrique! La très faible conductivité de l’air engendre un courant de fuite qui pourrait décharger ce condensateur en quelques minutes. On peut donc attribuer aux orages atmosphériques le rôle de compenser la déperdition de charges électriques négatives de la surface de la terre. Grâce aux orages, l’équilibre électrique initial et naturel est ainsi maintenu! C’est un phénomène permanent, puisqu’il existe à peu près 2 000 systèmes orageux en activité simultanément autour du globe. Voici brièvement expliquée l’extraordinaire organisation de la nature pour maintenir son équilibre électrique.

Un petit nouveau dans le domaine de la photo numérique

Nous avons découvert le travail de Bob Giorgi en mai dernier lors du Festival Européen de la Photo de Nu organisé à Arles. A l’Hôtel du Musée, il présentait une série de tirages étonnants qui jouaient à la fois sur le graphisme, le contraste, le contre-jour et bien sûr la nudité. La série s’intitulait « Fleur de peau » et affichait une homogénéité remarquable.

cameramanAssis à une table, au milieu de son expo, l’auteur accueillait les visiteurs et racontait avec simplicité et modestie la genèse de son travail: « Dans cette série, tout est construit en éclairage arrière. La lumière révèle la texture de la peau qu’elle effleure à peine. En l’absence de décor, la pose prend toute son importance. L’éclairage doit être très précis, tout comme le cadrage. Mais il est certain que le résultat dépend en grande partie de la beauté des modèles. Chaque mouvement, aussi infime soit-il, redessine le corps. Pour le modèle, ébloui par le contraste du noir et les lumières aveuglantes, tout n’est plus qu’abstraction. Les poses acrobatiques sont difficiles à tenir et comme les séances durent de 2 à 4 h, le lendemain certains modèles se plaignent de courbature » avoue Bob.

Et l’aspect technique? : « Toutes ces photos ont été réalisées avec un ou deux flashes Godard équipés de petites boîtes à lumières. Je recouvre le sol et l’arrière-plan de velours noir. Les prises de vue sont faites en argentique avec un Nikon F90 et un seul objectif, le Macro Nikkor 60 mm f:2,8. Pour le film, je suis fidèle au Kodak TMax 100 et au papier Ilford Multigrade IV Je réalise moi-même tout le travail de labo, développement et tirage. A l’heure du tout numérique, l’originalité n’est-ce pas de perpétuer cette future « méthode ancestrale » qu’est le n & b argentique ? ». Marseillais de naissance et de cœur, Bob Giorgi n’est pas à proprement parlé un photographe pro puisqu’il a gardé une activité professionnelle dans la communication. Mais son parcours comme son site Internet prouvent que notre homme a de l’expérience, de la technique et une grande productivité. D’ailleurs en 1999 et 2000, il a participé aux recrutements du concours Elite Model Look pour le sud de la France. A cette occasion il a réalisé de nombreux books et ses premiers travaux de commande. Au final, tout s’est déroulé assez vite pour Bob puisqu’il n’a eu l’idée de se lancer dans la photo qu’en 1992. A cette époque, il photographiait tout ce qui lui passait devant les yeux. Avec plus ou moins de bonheur, comme il le reconnaît lui-même. De cette période, il en a tiré une maxime : « il ne suffit pas de regarder pour voir, il faut apprendre à voir) ». Aujourd’hui nul doute que cet apprentissage a porté ses fruits. Et bob devrait bientôt réaliser son rêve: publier son premier livre de photos. Il le mérite vraiment. ..

Accastillage : empannage en douceur

Depuis maintenant plus de 20 ans, les dangers de l’empannage sont supprimés pour les plaisanciers équipés du ‘’Walder’’.

Grâce à son efficacité et sa simplicité, il contribue sur toutes les mers du globe et dans toutes les conditions de temps el sauver de nombreuses vies humaines. Accroché sous la bôme, le ‘’Walder’’ est adaptable facilement et rapidement à 99 % sur les voiliers de plaisance. De conception française, construit en aluminium marin anodisé couche dure, il est garanti 10 ans. Afin de s’harmoniser avec le gréement des voiliers en bois, les freins de bôme ‘’Walder’’ peuvent être habillés de bois, et munis de bras en bronze. Réalisés à votre demande, dans des essences diverses par Dryade Créations, ceci ne retire en rien les qualités de solidité ct d’efficacité. Sans pièces de mouvement, il utilise le simple frottement d’un bout sur un moyeu, Sa fiabilité et sa longévité sont indiscutables quelles que soient les conditions de vent et de mer. Le frein de bôme ‘’Walder’’ est disponible chez Technic Plaisance, ou bien chez les shipchandlers habituels.

Chantier : la passion de la navigation à l’ancienne

L’immense baie des Cornouailles anglaises offre de nombreux abris naturels. Au creux de l’un de ces bras de mer, se trouve le « Tregatreath Yacht Yard ». Ici sont construits depuis le début des années 60, des voiliers de pêche spécialisés dans le dragage des huîtres. Les coûts de la construction en bois ayant conduit le Tregatreath Yacht Yard à se remettre en question, les premières unités polyester furent livrées à des pêcheurs : celles-ci ont immédiatement prouvé qu’elles n’avaient rien perdu de leur comportement marin. Le nombre de bateaux armés en pêche déclinant, et leurs qualités n’échappant pas aux plaisanciers, la demande pour des bateaux adaptés à la croisière s’est créée, aboutissant à un savant dosage de classicisme dans les formes et de modernisme dans la mise en œuvre. L’atelier naval Ar Chanot ancré sur l’île de Groix s’est spécialisé dans ce type de construction. Des bateaux authentiques de 14 à 28 pieds tels que le Koustic, Clovelly Picarooner, Tosher 20′, Heard 23′ et 28′, à découvrir absolument! Outre la construction, Ar Chanot répare le bois, le polyester, vend du matériel de pêche, d’accastillage, loue des bateaux, etc.

Pourquoi numériser vos cassettes en DVD ?

Vue la progression considérable de la technologie, on a l’occasion d’avoir des nouveaux matériels puissants et facile à utiliser comme des lecteurs DVD/CD. Ces matériels sont les nouvelles œuvres technologiques de lecteur multimédia que la plupart des générations d’aujourd’hui utilisent couramment. Elles préfèrent utiliser les disques compacts au lieu des cassettes vidéo qui sont désormais dépassées et en voie de disparition. De plus on n’arrive plus à voir les cassettes vidéo dans les magasins multimédias puisqu’elles cessent d’être à la mode. C’est la raison pour laquelle plusieurs gens commencent à convertir leurs cassettes en dvd qui contiennent encore leurs précieux souvenirs. Ils pourront ainsi les récupérer et les retrouver facilement mais avec des images plus fidèles qu’auparavant. Pour une élaboration parfaite de cette opération, les services professionnels comme Mesk7 proposent de fournir une prestation notamment pour le transfert vhs-c sur dvd ou pour numériser les cassettes minidv en DVD.

Les bienfaits de la numérisation

La numérisation permet à n’importe qui d’entretenir et de manipuler les images beaucoup plus facilement et d’obtenir des résultats importants avec une meilleure qualité que s’ils avaient été sauvegardés dans des formats analogiques ou des cassettes vidéo. Grâce au DVD, vos images seront bien gardées car ils sont plus faciles à réparer en cas de dommage tel que les rayures tandis que les cassettes vidéo sont irréparables quand la bande magnétique est abîmée. Le DVD facilite également vos rangements car c’est moins encombrant. En revanche, il faut prendre soin de ces supports numériques étant donné que les rayures entrainent le mal fonctionnement du disque. Cela vous mettra probablement dans une situation difficile. Grâce à la numérisation, vous n’avez plus besoin d’acheter plusieurs disques ou cassettes vidéo pour vos films ou vidéos car un seul DVD suffit pour en stocker un certain nombre.

Le concept de transfert numérique

Lecteur DVDComme son nom l’indique, le transfert numérique consiste à transférer les vidéos cassettes dans n’importe quel format numérique grâce au transfert vhs-c et à la numérisation de cassettes mini-dv en format numérique et sur DVD. Il faut préciser que la procédure du transfert numérique nécessite certains appareils spécifiques ou des logiciels bien appropriés qu’il faut bien maîtriser avant toute opération. C’est pour cette raison que les établissements professionnels en la matière offrent une meilleure prestation pour la mise en œuvre de cette opération. Grâce au transfert vidéo, il est actuellement possible de récupérer vos vidéos enregistrées depuis plusieurs années. Ils sont donc récupérés grâce à un logiciel affecté au transfert. Ce logiciel consiste à transformer vos vidéos en des fichiers numériques. Dans ce cas, vous pourrez bénéficier de la vision facile de vos vidéos dans tous les supports numériques comme le lecteur DVD sans avoir besoin des matériels comme les caméscopes. Par ailleurs, la qualité de vos vidéos numériques sera supérieure aux formats analogiques courant tels que 8 mm, Vhs-c ou Hi8. Le transfert numérique permet d’une manière générale de retrouver vos anciennes vidéos avec une nouvelle qualité d’image et de son.

Focus sur Bernard Rousseau

Depuis que le numérique s’est démocratisé, Bernard Rousseau s’est pris de passion pour le montage et la retouche sur Photoshop. Il nous a envoyé plusieurs séries d’images sur le thème  » avant-après ». Parmi celles-ci, c’est cette, apparition du diable qui a tenté le jury. « Je tiens à préciser que j’ai eu l’idée avant la pub pour la voitlire Fiat. Ce diable je l’ai dessiné sur une feuille blanche, je l’ai pris en photo et fait numériser. Ensuite je l’ai intégré via un calque sous Photoshop. En prise de vue, je travaille avec un Canon EOS-5 argentique chargé de film diapo Elite Chrome. Je n’ai pas de scanner, je donne mes diapos à un comptoir de travaux photo qui scanne à ma place en haute résolution. C’est amusant en noir et blanc je reste assez puriste, je n’aime pas trop les photos montages mais en couleur, je m’éclate!

A force de travail, je maîtrise bien Photoshop à présent mais pour la partie informatique c’est mon fils qui s’en occupe car il est informaticien ». Bernard et les deux autres photographes dont les images sont présentées sur cette page, gagnent un graveur DVD 8x et dix DVD Scratchproof TDK.

RTune : une technologie qui fait la différence

RTune est une technologie de traitement d’image exclusive et innovante développée par Kyocera. Elle repose sur l’action combinée de deux processeurs qui, ensemble, assurent un traitement à la fois rapide et précis du signal délivré par le capteur. La technologie RTune permet notamment d’atteindre une cadence de prise de vue soutenue (3,3 images/seconde), et cela en conservant la meilleure définition d’image. En utilisant une carte 50 certifiée haut débit, ces rafales sont illimitées en nombre d’images, si ce n’est par la capacité de stockage de la carte elle-même. Une caractéristique unique! Grâce au traitement des données sur 16 bits, la technologie RTune procure également une optimisation de la qualité d’image, au travers, notamment, de la précision de la balance des blancs, d’une diminution du brut de fond, et d’une diminution du poids de l’image sans perte de qualité.

illuEn résumé, la technologie RTune apporte réactivité via le traitement rapide, vélocité en rafales, précision et justesse des couleurs, gain de place des fichiers, haute sensibilité de 800 ISO. Avec son mode vidéo VGA, aussi doué pour la photo que pour la vidéo, le S1400R réalise des séquences VGA sans limite de durée.

Jean-Philippe Charbonnier et Henry Ray

Le 28 mai dernier, un des derniers grands représentants du reportage français des années 50 est décédé. Son nom ne dira peut-être pas grand-chose à un public jeune, mais Jean-Philippe Charbonnier était bien l’égal des Boubat, RoDis, Izis ou Doisneau. Il a fait partie de la fameuse équipe des reporters qui travaillait pour le magazine Réalités et fut aussi le mari d’Agathe Gaillard, la « pionnière » des galeristes photo françaises. Dans les années 70, il fut même bien plus célébré que certains grands noms d’aujourd’hui … avant de connaître une éclipse « médiatique », sans doute due, en partie, à son caractère tempétueux ! Il avait 82 ans et nul doute qu’un jour son œuvre sera réévaluée et « redécouverte » !

Autre disparition d’un auteur discret mais important de la photo n & b : Henry Ray. A 48 ans de vie à peine, dont vingt-cinq ans d’images, Thierry Ray, qui préférait le prénom d’Henry, a arrêté son errance sud-américaine. Né en 1956, cet autodidacte a commencé à photographier au Brésil à la fin des années 1970, dans un esprit que n’aurait pas renié Jorge Amado, dont il a illustré le roman « Capitaine des sables ». Habité par l’océan, hanté presque par les gens de peu dont il a croisé le destin, il nous laisse sur l’Amazonie, où il aurait tant voulu retourner, seul et à la voile sur un bateau restauré de ses mains, une œuvre poignante, couronnée en 1996 par la Fondation CCF pour la Photographie.